Inspiré par Max le bucheron
A mon père
Toi le père que je n’ai jamais eu
Sais-tu, si tu avais survécu
Ce que nous aurions fait ensemble
Trente ans avant moi, tu serais né
Alors on ne se serait plus quittés
Comme deux amis qui se ressemblent
Tu m’aurais appris le foot par cœur
Tu aurais été mon entraineur
Dans mon équipe primaire
Sur qu’un jour, tu m’aurais défendu
Pour peu qu’alors je me serais battu
Pour une belle première
Mais tu n’étais pas là
A qui la faute ?
A ce cancer
De tes viscères
Tu aurais pu éviter cela
Toi le père que je n’ai jamais eu
Sais-tu ce que j’ai bu
De mes chagrins en solitaire
Si tu m’avais pas fait faux bon
Tu aurais fini mon tourton
Je t’aurais appris à en faire
Si la vie s’était comportée mieux
Elle aurait divisé en deux
Les parts de flans, les paires de Big mac
Elle aurait surement partagé
Les mots doux, le cassoulet
Les bières et les coups de gnack
Mais tu n’étais pas là
A qui la faute
A ce cancer
De tes viscères
Tu aurais pu éviter cela
Toi le père que je n’aurais jamais
Je suis moins seul de t’avoir créer
Pour un instant, pour une vie
Je t’ai dérangé, tu me pardonnes
Ici quand tout vous abandonne
On se fabrique un paradis
A mon père
Toi le père que je n’ai jamais eu
Sais-tu, si tu avais survécu
Ce que nous aurions fait ensemble
Trente ans avant moi, tu serais né
Alors on ne se serait plus quittés
Comme deux amis qui se ressemblent
Tu m’aurais appris le foot par cœur
Tu aurais été mon entraineur
Dans mon équipe primaire
Sur qu’un jour, tu m’aurais défendu
Pour peu qu’alors je me serais battu
Pour une belle première
Mais tu n’étais pas là
A qui la faute ?
A ce cancer
De tes viscères
Tu aurais pu éviter cela
Toi le père que je n’ai jamais eu
Sais-tu ce que j’ai bu
De mes chagrins en solitaire
Si tu m’avais pas fait faux bon
Tu aurais fini mon tourton
Je t’aurais appris à en faire
Si la vie s’était comportée mieux
Elle aurait divisé en deux
Les parts de flans, les paires de Big mac
Elle aurait surement partagé
Les mots doux, le cassoulet
Les bières et les coups de gnack
Mais tu n’étais pas là
A qui la faute
A ce cancer
De tes viscères
Tu aurais pu éviter cela
Toi le père que je n’aurais jamais
Je suis moins seul de t’avoir créer
Pour un instant, pour une vie
Je t’ai dérangé, tu me pardonnes
Ici quand tout vous abandonne
On se fabrique un paradis